L'armée tchèque et le projet NRF

Le cabinet demandera au Parlement son accord avec l'engagement de l'armée dans les opérations des Forces de réponse rapide de l'OTAN. C'est l'unité de décontamination chimique de Liberec faisant partie de ces unités d'alliance, qui est concernée. En cas de besoin, à partir du premier juillet jusqu'au 15 janvier 2004, près de 400 soldats participeraient aux opérations de l'OTAN. Selon le Premier ministre, Vladimir Spidla, le mandat se rapporterait à toutes les situations de crise dans le monde.