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En République tchèque, la qualité d'eau dans des piscines naturelles, dans des étangs et lacs, diffère d'une région à l'autre. Les gens peuvent se baigner, par exemple, dans les eaux du barrage de Hostivar, à Prague, tandis que celles de Dzban, une localité qui se trouve également dans la capitale tchèque et qui est en été très populaire, ne sont pas recommandées pour la baignade, du fait de la prolifération des cyanophysées toxiques et des lentilles d'eau. L'eau est en revanche propre, par exemple, dans le barrage de Brno.

L'intérêt pour les études slaves qui sont organisées chaque année en République tchèque, par les université d'Olomouc, de Brno et de Prague, ne s'amoindrit pas. 85 étrangers en provenance du monde entier prennent part à la XXIe session des cours d'été d'études slaves, qui ont lieu cette semaine à la Faculté des lettres de l'Université Palacky d'Olomouc, en Moravie. Jusqu'au 17 août, tous s'efforceront de faire des progrès dans la pratique et d'approfondir leurs connaissances de la langue tchèque. A noter que le pays le plus représenté cette année à Olomouc est la France avec pas moins de neuf étudiants inscrits. Des cours se poursuivront, dès la semaine prochaine, dans la cappitale tchèque.

Dans le cadre des festivités estivales de musique ancienne, l'ensemble Les Cornets Noirs se produit ce jeudi à 19h30 dans l'église Saint-Gall (kostel svateho Havla). Un ensemble de jeunes musiciens allemands, français et autrichien. Deux cornets, deux violons, violoncelle et orgue constituent le noyau de base de cette formation dont le répertoire se compose essentiellement d'oeuvres de compositeurs italiens et allemands du XVIIe siècle, tels Heinrich Schütz ou Claudio Monteverdi.

Zohid Mizraev, un réfugié ouzbek arrêté à la frontière allemande par la police tchèque le 3 juillet dernier, a été relâché ce mercredi. Il avait été interpellé avec son compatriote Omanullo Maqsudov sur la base d'un mandat Interpol, à la demande des autorités ouzbeks qui réclamaient leur extradition. Partis de leur pays d'origine après les événements d'Andijan en 2005, ils ont tous les deux obtenus le statut de réfugié en Allemagne. Leur avocat a indiqué que leur vie était en danger s'ils retournaient en Ouzbekistan.