• Vaclav Havel à Vienne
    07/09/2001

    Même si les questions liées à la centrale nucléaire de Temelin en Bohême du Sud et les fameux décrets Benes n'ont pas été à l'ordre du jour des entretiens du président Vaclav Havel avec son homologue autrichien, Thomas Klestil, ce jeudi, à Vienne, les deux chefs d'Etat n'ont pas pu les éviter comme ils en ont entretenu la presse par la suite. Tout en déclarant que la mise en service de la centrale de Temelin est liée à l'admission à l'Union européenne, Thomas Klestil estime que ce n'est pas pour autant une raison d'en faire un motif à embargo ou d'organiser en Autriche un référendum sur l'élargissement de l'Union. Quant à Vaclav Havel, il a déclaré que c'est là une question technique du domaine des seuls experts et qui ne doit pas devenir une source d'émotion utilisée comme instrument politique par des hommes d'Etat des deux pays dans des discours provinciaux et chauvins.
    Auteur: Omar Mounir

  • Le ministre du Travail à propos du départ des Roms
    05/09/2001

    Les Roms quittant la République tchèque pour la Grande-Bretagne le font dans le but d'améliorer leur situation financière. Une déclaration de Vladimir Spidla, ministre du Travail et des Affaires sociales, faite aux assises de la commission sociale de l'assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe à Prague. Selon le ministre, environ 600 Roms tchèques ont demandé, cette année, le droit d'asile en Grande-Bretagne, on ne peut donc pas parler d'un exode massif.
    Auteur: Jaroslava Gissübelová

  • Le visa au lieu du contrôle `a l'aéroport ?
    03/09/2001

    Avec l'instauration de l'obligation de visa, la Grande-Bretagne devrait, en principe, résoudre le probleme de l'immigration des Roms tcheques vers Londres. Une déclaration `a la télé Prima de l'avocate Klara Samkova-Vesela. "Je ne vois pas ou est le probleme", dit cette avocate des Roms, ancienne membre du Parlement fédéral tchécoslovaque. Elle a rappelé que les Tcheques ont besoin de visa pour se rendre aux Etats-Unis et en Australie ou, une série de Roms continuent d'émigrer. L'instauration du visa, a-t-elle dit, est le probleme de la Grande-Bretagne, superpuissance incapable, selon elle, de régler le probleme de 3000 demandeurs d'asile de République tcheque. Rappelons que quelque 2900 Roms ont demandé l'asile, lors des trois dernieres années, `a Londres.

Pages