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Milouš (parfois aussi Miloš) Jakeš a été enterré mardi à Prague, selon la chaîne CNN Prima News, sans préciser la date exacte de son décès.

En 1987, Milouš Jakeš avait remplacé le président Gustáv Husák à la fonction de Secrétaire général du comité central du Parti communiste tchécoslovaque (KSČ) qu'il a assumée jusqu'à la révolution de Velours de novembre 1989.

Jakeš a marqué plusieurs générations avec des discours alambiqués, dont certains passages restent légendaires. A la chute du communisme, l'un des slogans des manifestants était "Jakeše do koše" (Jakeš à la poubelle).

Mercredi, jour de fête des Jindřich, retour de la pluie avec l’arrivée progressive d’un front froid. Les températures resteront encore autour de 24 ºC avant de redescendre en-dessous de 20 ºC  jeudi.

Le gouvernement tchèque a contre toute attente validé, au terme d’un débat houleux, la proposition du Sénat visant à rajouter à la liste des droits et libertés fondamentaux le droit de se défendre et de défendre les autres avec une arme à feu, a fait savoir lundi la ministre de la Justice Marie Benešová. Le Sénat tchèque a proposé cet amendement suite à une pétition de plus de 100 000 signatures exprimant les craintes de chasseurs et autres adeptes du tir sportif, liées à l’instauration de la directive européenne sur la détention d’armes à feu.

Le ministre de la Défense Lubomír Metnar a déclaré qu’il faisait partie des membres du gouvernement à l’origine opposés à cet amendement, mais qu’il avait changé d’avis « au vu de l’évolution de la situation sécuritaire » dans le pays. La proposition du Sénat doit toutefois encore être approuvée par les deux chambres parlementaires par une majorité constitutionnelle des trois cinquièmes.

La réforme de la politique de l’UE en matière d’armes à feu a renforcé le contrôle des armes dans l’ensemble de l’Union et a rendu plus difficiles l’obtention et la possession de certaines armes par les citoyens européens, tout en instaurant des règles plus strictes en matière de permis et d’enregistrement des armes.

158 personnes ont développé une encéphalite à tiques en Tchéquie pour la période allant jusque fin juin, soit déjà plus de cas que l’an dernier pour la même période. Le nombre de cas de borréliose, autre maladie transmise par les tiques, est toutefois plus faible que l’an passé pour cette même période (1 035 personnes touchées), selon les dernières données de l’Institut national de la santé (SZÚ).

Le nombre de cas de ces maladies infectieuses transmises par les tiques tend en général à augmenter avec l’arrivée de l’été, lorsque les gens font de la randonnée dans la nature. A la différence de l’encéphalite à tique, il n’existe pour l’instant aucun vaccin contre la maladie de Lyme (ou borréliose) qui affecte un nombre croissant de personnes chaque année. Actuellement, des chercheurs tchèques et américains collaborent pour développer un vaccin dont les premiers tests cliniques sur des souris s’avèrent prometteurs.