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Le géant français des boissons Pernod Ricard envisagerait de vendre Jan Becher - Karlovarská Becherovka (JBKB), fabricant de la liqueur tchèque Becherovka, selon l’agence Bloomberg. La société est évaluée à près de 7 milliards de couronnes, d’autres groupes internationaux de boissons étant considérés comme les acheteurs potentiels. Ce n’est pas la première fois que le groupe envisage de céder la marque, l’idée d’une telle transaction ayant été déjà émise il y a une dizaine d’années.

Becherovka est un digestif obtenu à partir d'un mélange de plantes et d'épices. Elle est produite à Karlovy Vary, en Bohême de l’Ouest, depuis plus de deux siècles. Son fabricant a été racheté par Pernod Ricard en 1997.

Les policiers ont arrêté 69 migrants, en grande majorité des ressortissants syriens, lors de la première journée de contrôles aléatoires à la frontière avec la Slovaquie, a indiqué à l'agence de presse tchèque Irena Pilařová, porte-parole de la présidence de la police.

Ils ont également arrêté quatre passeurs, avec ouverture d'enquête pour  délit d'organisation et de facilitation du franchissement illégal de la frontière de l'État.

La Tchéquie a mis en place des contrôles aléatoires depuis mercredi en raison de l'augmentation du nombre d'arrivées de migrants clandestins, tout comme l'ont tous les pays voisins.

Les trois clubs de football tchèques encore en lice tenteront ce jeudi de poursuivre leur belle entrée en matière dans les compétitions européennes, avec trois victoires en trois matchs en septembre. En Ligue Europa, le Sparta affrontera le Betis à Séville à 18h45 après une victoire 3-2 sur l'Aris Limassol à Prague et le Slavia, après une victoire 2-0 à Genève contre le Servette, reçoit à 21h le le Sheriff Tiraspol dans son staden Eden.

Un peu plus tôt dans l'après-midi, dans la Ligue Europa Conférence, le Viktoria Plzeň, après sa victoire 1-0 à domicile contre le Ballkani du Kosovo, jouera contre Astana au Kazakhstan.

Une entreprise basée à Turnov en Bohême a tenté à deux reprises d'exporter vers le Pakistan des pièces pouvant être utilisées dans la production d'armes nucléaires sans permis valide, selon les informations publiées mercredi par Deník N.

Après la première tentative, les autorités ont simplement averti l'entreprise qu'il était interdit d'exporter ce type de matériel de l'Union européenne sans permis. Cependant, après que les douaniers ont découvert la seconde tentative, la société NRB (New Rock Bits) et sa dirigeante, une femme d'origine russe, sont désormais accusés d'avoir délibérément tenté d'exporter des marchandises interdites.

"On reproche aux suspects une deuxième tentative d'exportation via Koper, en Slovénie. Les accusés savaient déjà que sans permis valide, il est impossible d'exporter de telles marchandises", a déclaré au serveur Jiří Zemek, du bureau du procureur régional de Brno.