Infos

Veljko Birmančević, qui compte trois titularisations en équipe nationale serbe, est une des recrues estivales du Sparta Prague. Le champion tchèque a acquis le milieu offensif de 25 ans sous la forme d'un prêt d'un an en provenance du club français de Toulouse, avec une option incluse dans la transaction.

"Veljko est un footballeur offensif dynamique qui peut être aligné sur l'aile et en soutien. Il a de bonnes capacités de dribble, il peut contourner les adversaires et il utilise également ses courses dans le dos de la défense. Il a déjà acquis une expérience précieuse lors des tours préliminaires et des groupes de la Coupe d'Europe, y compris la Ligue des champions", a déclaré le directeur sportif du Sparta, Tomáš Rosický.

Le nombre de Tchèques qui soutiennent le droit des homosexuels à adopter des enfants et à conclure un partenariat enregistré ou un mariage a augmenté au cours des quatre dernières années, selon un sondage de l'agence CVVM publié mercredi. Selon ce sondage, 83 % des personnes interrogées se disent favorables à un partenariat enregistré entre homosexuels, tandis que 58 % estiment que les couples du même sexe devraient avoir les mêmes droits que les hétérosexuels en matière de mariage.

L’enquête montre également que 77 % des Tchèques sont favorables à ce que les homosexuels adoptent les enfants de leur partenaire, tandis que 63 % d’entre eux soutiennent leur droit d'adopter des enfants dans des foyers pour enfants.

Un débat entre la présidente slovaque Zuzana Čaputová et son homologue tchèque Petr Pavel ouvre le festival Meeting Brno jeudi. Le débat doit porter sur les relations entre la Tchéquie et la Slovaquie 30 ans après la séparation des deux pays et se dérouler dans le jardin de la villa Tugendhat, où l’avenir de la Tchécoslovaquie avait été discuté en 1992.

Ce festival d’une semaine a été créé en 2016 dans le but de relier des cultures et des opinions différentes et de promouvoir le dialogue interreligieux. Cette année, il abordera également les thèmes de l’éducation et de la place des femmes dans l’Église.

Le tribunal de Prague 6 entame aujourd’hui l’examen du cas d’une enseignante qui a défendu l’agression de la Russie en Ukraine pendant ses cours. Elle risque de six mois à trois ans de prison pour négationnisme. L’école élémentaire de la rue Na Dlouhém lánu a licencié l’enseignante tchèque après l’incident.

Selon l’acte d’accusation, la femme a tenté de justifier des crimes de guerre pendant un cours de composition en huitième classe (équivalent de la quatrième en France). Elle avait également déclaré que rien de particulier ne se passait à Kyiv. Lorsque ses élèves avaient fait valoir qu’ils avaient vu la ville en flammes dans les journaux télévisés tchèques, elle leur avait répondu que la télévision publique était partiale

Dans les médias, la femme avait expliqué plus tard qu’en discutant avec les enfants, elle s’était rendu compte qu’ils n’avaient que des informations sommaires et qu’elle voulait qu’ils en sachent plus. Elle a insisté sur le fait qu’elle leur avait présenté des faits vérifiés.