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Plusieurs dizaines de personne se sont rassemblées dimanche matin pour célébrer une messe à la cathédrale Saint-Guy, à Prague, en mémoire des victimes du communisme, un jour avant la date anniversaire du Coup de Prague. L’office a été célébré par l’évêque Václav Malý qui a parlé de « tragédie » en évoquant les événements du 25 février 1948. De nombreuses personnes venues participer à la cérémonie étaient des personnes âgées qui avaient vécu le putsch communiste.

Dimanche après-midi une centaine de jeunes gens notamment s’est rassemblée près de la statue de Jan Hus sur la place de la Vieille-Ville de Prague. Le rassemblement était organisé par les Jeunes conservateurs, les Jeunes chrétiens-démocrates et Junák, l’union des scouts.

La direction des Verts discute ce dimanche à Prague de la base radar américaine et de la possibilité d’organiser un référendum à l’intérieur du parti sur son installation. Une majorité des membres du plus petit parti de la coalition gouvernementale est contre cette installation, alors que les autres membres de la coalition y sont plutôt favorables. Les Verts entendent également revenir sur la récente élection présidentielle et sur le cas de la députée Olga Zubová qui ne s’était pas présentée à la deuxième élection pour cause de maladie. Son absence avait causé des dissensions à l’intérieur du parti. Autre thème de discussion : le possible retour au gouvernement du très controversé chef du parti chrétien-démocrate Jiří Čunek.

Cette décision pourrait créer un précédent et toucher un jour l’ensemble du pays : désormais, il sera interdit de consommer de l’alcool dans les lieux publics dans la ville d’Ustí nad Labem. D’autres villes ont favorablement accueilli cette décision et ont précisé qu’elles allaient elles aussi soumettre un règlement similaire à décision. La ville de Prague a fait savoir qu’elle pourrait également interdire la consommation d’alcool dans les lieux publics pour lutter contre les problèmes d’alcoolisme et de SDF dans les parcs et les gares.

D’après une enquête réalisée par le Centre d’étude de l’opinion publique, le social-démocrate Bohuslav Sobotka serait l’homme politique préféré des Tchèques, avec 46% de personnes lui accordant leur confiance. Après lui, le maire de Prague, Pavel Bém, qui a cependant vu la plus importante chute de popularité parmi tous les politiciens tchèques. Deux tiers des personnes interrogées lui font confiance, à égalité avec le social-démocrate Zdeněk Škromach. Le positionnement de Sobotka et Bém est similaire à la dernière étude en date en octobre dernier.