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L'accord intergouvernemental sur la mine de lignite polonaise de Turów est la meilleure solution et profite aux localités tchèques touchées par l'exploitation de la mine, selon Michal Pastvinský, le représentant de la République tchèque au nom du ministère de l'Environnement (MŽP) pour les négociations sur Turów. Cette déclaration mercredi intervient au lendemain de l'annonce par les organisations environnementales Greenpeace, Bund Sachsen et Sousedský spolek Uhelná d'une plainte déposée auprès de la Commission européenne concernant cet accord.

Selon les plaignants, l'exploitation de la mine continue de causer des dommages à l'environnement et l'accord les empêche d'intenter une action en justice devant la Cour de justice de l'UE. Mercredi, Michal Pastvinský a toutefois déclaré à l'agence ČTK que la Tchéquie pourrait saisir les tribunaux si la Pologne ne respectait pas les termes de l'accord.

Des entreprises et institutions tchèques font partie des 65 000 entités dans 111 pays dont les données ont été divulguées sur Internet à cause d'un Azure Blob Storage mal configuré chez Microsoft, a rapporté l'agence de presse CTK. La fuite concernerait le ministère de l'Intérieur, le ministère des Finances, la plus grande compagnie d'assurance maladie nationale VZP, T-Mobile et la principale banque du pays Česká spořitelna.

Česká spořitelna et T-Mobile ont tous deux indiqué que la fuite de données ne concernait pas les données des clients, tandis que le ministère des Finances a tweeté que la fuite n'avait pas concerné de données sensibles ou encore valides.

La triple championne olympique Ester Ledecká affirme s’être cassé la clavicule pendant l’été. Dans une interview accordée au quotidien Sport, la snowboardeuse et skieuse tchèque a déclaré qu’elle avait dû être opérée après s’être cassé la clavicule lors d’un entraînement.

Ester Ledecká a skié pour la première fois depuis l’accident la semaine dernière, mais affirme que son épaule est toujours blessée et qu’elle s’efforce de revenir à son niveau d’avant l’accident.

Selon une analyse de la société Sodexo Benefity, en septembre, un déjeuner au restaurant coûtait en moyenne 172 CZK, soit 5 CZK de plus qu’en août et 15 CZK de plus qu’en janvier. C’est à Prague que les gens dépensent le plus d’argent pour un repas de midi au restaurant, soit en moyenne 195 CZK. Pour trouver le prix le plus bas moyen, soit 153 CZK il faut aller à Olomouc.

« Les prix du déjeuner ont augmenté de manière continue pour le douzième mois consécutif. Ils sont repartis à la hausse à l’automne de l’année dernière, peu après l’allègement de toutes les restrictions liées à la pandémie », souligne Jan Michelfeit de la société Sodexo Benefity. Le prix augmente d’une ou deux couronnes chaque mois. « Mais le mois de septembre a entraîné un bond beaucoup plus important, de plus de cinq couronnes », relève-t-il.