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Les politiciens tchèques ne sont toujours pas tombés d'accord sur le mode d'adoption du Traité constitutionnel européen. Le Premier ministre, Jiri Paroubek est pour le référendum, alors que le ministre des Affaires étrangères, Cyril Svoboda est pour la voie parlementaire. Le président de la République, Vaclav Klaus, est aussi pour le plébiscite tout comme le Parti civique démocrate dont il est le président d'honneur.

L'hôpital de campagne de l'organisation tchèque, Hand for Help, qui opérait au Sri Lanka, vient de terminer sa mission. Depuis les tsunamis qui ont rudement touché le sud du pays, à la fin de l'année dernière, le personnel de l'hôpital a soigné plus de 5100 personnes, dont 3400 enfants. Le service ambulatoire de l'hôpital devrait être l'objet d'un don à la maternité de la ville de Gallé où opérait la mission tchèque.

Les distributeurs de billets exploités par la société Muzo seront hors service dans la nuit du 1er mai pour des raisons techniques et leur entretien. Il s'agit des distributeurs utilisés par la plupart des banques tchèques. Une exception, la Caisse d'épargne tchèque qui possède son propre réseau comptant le plus grand nombre de distributeurs.

« Je propose de laisser les passions, les monologues, et les leçons de côté pour laisser place à une discussion calme sur le Traité constitutionnel dans laquelle chacun écoutera les autres et où tous les arguments seront entendus et confrontés. » Cet extrait est tiré de la lettre adressée par le président social-démocrate de la Chambre des députés, Lubomir Zaoralek, à l'attention du président de la République Vaclav Klaus, farouche opposant à la Constitution. La semaine dernière, ce dernier avait reproché à Lubomir Zaoralek d'avoir approuvé les critiques formulées à son encontre par des députés européens, qui lui reprochaient entre autres de nuir à l'image de son pays.