• 16/09/2002

    Le gouvernement tchèque se désagrège. Les représentants des trois partis de la coalition gouvernementale dominée par la social-démocratie ont cherché pendant toute la journée de ce lundi des solutions éventuelles de la crise. Ils ont été reçus également par le Président tchèque, Vaclav Havel. Plus de détails dans notre émission Faits et événements en République tchèque.

    Auteur: Václav Richter
  • 15/09/2002

    La participation des contingents de l'Armée tchèque à des opérations de maintien de la paix au sein des unités multinationales au Kosovo connaît beaucoup de succès mais aussi des déboires. Ce samedi, le contingent tchèque a perdu deux hommes, décédés lors d'un accident de la circulation dans des conditions non encore éclaircies.

    Auteur: Omar Mounir
  • 15/09/2002

    Juste après la réunion, samedi, de la direction de la social-démocratie, le Premier ministre Vladimir Spidla a déclaré qu'il ne compte plus avec les ministres de l'Union de la liberté/Union démocrate. "Je vais négocier la conception de la formation du gouvernement, a-t-il dit, avec les présidents des autres partis, ce qui veut dire, je présume, que les ministres de l'Union de la liberté seront remplacés par d'autres ministres."

    Auteur: Omar Mounir
  • 15/09/2002

    "Le Parti communiste de Bohême et de Moravie va soutenir le gouvernement minoritaire des sociaux-démocrates et des chrétiens-démocrates, si ces formations politiques portent davantage l'accent sur les parties du programme qui constituent pour les communistes "l'axe de leur politique". Ce point de vue est celui des vice-présidents de ce parti, Miloslav Ransdorf et Jiøí Dolej, lesquels précisent qu'ils ont à l'esprit la politique sociale et la croissance économique.

    Auteur: Omar Mounir
  • 15/09/2002

    L'avion de transport de l'Armée tchèque, Tupolev Tu-154, qui, samedi, s'est trouvé contraint, à cause d'une panne de moteur, de faire un atterrissage non prévu à l'aéroport Saint-Exupéry de Lyon, est toujours en stationnement sur l'aire de cet aéroport et ne pourrait repartir que lundi. Des experts tchèques se rendront à Lyon avec la mission de s'assurer de l'origine de la panne.

    Auteur: Omar Mounir
  • 14/09/2002

    Trois mois à peine après les parlementaires, le gouvernement de la République tchèque se transformera d'un gouvernement majoritaire en gouvernement minoritaire. Deux partis seulement composeront le cabinet : la social-démocratie et la démocratie-chrétienne. Quant à Hana Marovona, responsable de ce naufrage en raison de son vote contre l'augmentation des impôts en conséquences des inondations, elle refuse de quitter la députation comme le lui ont demandé ses collègues de l'Union de la liberté/Union démocrate.

    Auteur: Omar Mounir
  • 14/09/2002

    Selon son remplaçant à la tête des Affaires étrangères, Jan Kavan, ministre sortant et actuellement président de l'Assemblée générale des Nations unies, devait ressentir, en qualité de député, plus de responsabilité à l'égard des événements dans son pays et du destin de la coalition. La coalition va s'efforcer à l'avenir d'avoir encore la voix de Marvanova, a dit Cyril Svoboda. Cette voix fut à l'origine, rappelons-le, du rejet de la réforme fiscale présentée par le gouvernement et rendue nécessaire par les charges consécutives aux inondations. Précisons à ce sujet qu'avec la voix de Kavan, le gouvernement aurait pu éviter ce rejet et par la suite l'actuelle crise gouvernementale.

    Auteur: Omar Mounir
  • 13/09/2002

    Le président du Parti communiste de Bohême et de Moravie, Miroslav Grebenicek, est convaincu que le Premier ministre, Vladimir Spidla, va restreindre sa coalition à deux formations politiques : la social-démocratie et les chrétiens-démocrates. Une déclaration intervenue juste après la rencontre de Grebenicek et Spidla, suite au rejet, à la Chambre des députés, de l'amendement fiscal inondations, à cause du vote négatif de Hana Marvanova, de l'Union de la liberté/Union démocrate, pourtant membre de la coalition.

    Auteur: Omar Mounir
  • 13/09/2002

    Grebenicek se serait mis d'accord, selon ses propres termes, avec le Premier ministre, en vue de trouver un espace pour évaluer les programmes de leurs partis respectifs. C'est par cette exigence que le chef du Parti communiste de Bohême et de Moravie conditionne le soutien de son parti à la coalition de l'éventuel gouvernement minoritaire de Vladimir Spidla.

    Auteur: Omar Mounir
  • 13/09/2002

    Selon le Premier ministre, le rejet, aujourd'hui, de sa réforme fiscale, par la Chambre des députés, ne conduirait pas à la chute de son gouvernement. Il qualifie cependant ce rejet de violation de l'accord de coalition, à laquelle "il faut réagir vite", a-t-il dit. Ce week-end encore la social-démocratie et les chrétiens-démocrates examineront la nouvelle situation au sein de la coalition.

    Auteur: Omar Mounir

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