• 06/02/2003

    Le récent discours du chef de la diplomatie américaine, Colin Powell, devant le Conseil de sécurité de l'ONU, concernant l'Irak, n'a pas essentiellement changé la position des politiciens tchèques. Le Ministère tchèque des Affaires étrangères a publié dans ce sens une déclaration. La République tchèque estime qu'il faut, peut-on lire dans son texte, que le Conseil de sécurité de l'ONU trouve un consensus en vue d'assurer l'accomplissement des résolutions respectives. Elle se félicite donc de ce que les Etats-Unis imposent une approche multilatérale. Le Premier ministre tchèque, Vladimir Spidla, n'a pas commenté les paroles de Colin Powell.

  • 06/02/2003

    Les sociaux-démocrates veulent proposer, à une réunion des chefs des partis représentés au Parlement, ce jeudi soir, que la troisième élection présidentielle ait lieu d'ici trente jours. L'ODS penche, plutôt, pour une élection au suffrage universel. Son chef, Mirek Topolanek, l'a déclaré à l'issue d'un entretien avec Petr Mares, chef des unionistes.

  • 06/02/2003

    L'Office d'Etat pour la sécurité nucléaire a donné à la centrale nucléaire de Temelin une autorisation de passer à une nouvelle étape de la mise en marche de son deuxième bloc. Le réacteur travaillera au maximum à 75 % de sa capacité.

  • 05/02/2003

    Selon un sondage CVVM, même à la fin de son mandat, Vaclav Havel a été, pour les citoyens tchèques, l'homme politique le plus apprécié. C'est l'opinion des trois cinquièmes des personnes interrogées. Havel, dont le mandat présidentiel est arrivé à échéance le 2 février, bénéficiait, depuis 1999, de la préférence de plus de 50% des opinions.

    Auteur: Omar Mounir
  • 05/02/2003

    L'institution de l'élection du président de la République au suffrage universel n'est pas encore à l'ordre du jour. La Commission sénatoriale pour les droits de l'homme a reporté l'examen d'un éventuel amendement de la constitution dans ce sens. Les sénateurs attendent au moins la fin de février dans l'espoir d'un accord du corps représentatif sur un candidat.

    Auteur: Omar Mounir
  • 05/02/2003

    Les noms des candidats potentiels défilent. Le vice-président du gouvernement et ministre de la Justice, Pavel Rychetsky (social-démocratie) n'est pas candidat et déclare soutenir l'élection du président au suffrage universel. Elle aurait lieu, le cas échéant, au plus tôt, en automne, dit-on au sein de la coalition gouvernementale.

    Auteur: Omar Mounir
  • 05/02/2003

    Pour la deuxième fois, ce mercredi, les pompiers de la ville de Plzen, en Bohême de l'ouest, ont dû intervenir à cause d'une poudre dispersée dans un bâtiment de l'université. Déjà, le matin, ils avaient dégagé de la poudre d'autres locaux et couloirs du rez-de-chaussée de l'université, et, à chaque fois, en habits spéciaux et avec les précautions d'usage.

    Auteur: Omar Mounir
  • 05/02/2003

    Il est Russe, il s'appelle Dmitrij Kupcov, et la justice tchèque vient de le condamner à 60 000 couronnes d'amende pour tentative d'escroquerie. Lors des inondations d'août, Dmitrij a fait appel au public pour souscription au profit des victimes des inondations de Prague, mais en donnant son compte bancaire. Il réfute l'idée d'escroquerie. De toute façon, personne n'a envoyé de l'argent à son compte.

    Auteur: Omar Mounir
  • 04/02/2003

    Helena Illnerova, présidente de l'Académie tchèque des Sciences, et Ivan Wilhelm, recteur de l'Université Charles à Prague, ont renoncé à la candidature à la présidence de la République tchèque. Parmi les personnes dont les candidatures sont discutées maintenant par les députés du Parti social-démocrate tchèque il y a l'universitaire, Pavel Klener, ancien ministre de la Santé publique, et Pavel Rychetsky, vice-premier ministre et ministre de la Justice du cabinet actuel. La candidature de Pavel Rychetsky se heurte cependant à des réticences de la part des partenaires de la social-démocratie dans la coalition gouvernementale, les chrétiens démocrates et l'Union de la liberté - DEU.

    Auteur: Václav Richter
  • 03/02/2003

    Après près de treize années en tant que président de la République, le citoyen Vaclav Havel a pu commencer sa journée de lundi tranquillement. Selon son secrétaire, Jakub Hladik, Vaclav Havel n'était pas obligé, comme pendant les années passées, de se lever tôt, d'étudier tout un paquet de documents, de se préparer à une visite officielle ou à une visite à l'étranger. Il a pu prendre son petit déjeuner « comme tout le monde ».

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