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18/11/2002
La Biélorussie participera au sommet de l'OTAN à Prague au niveau de son ambassadeur auprès de l'Alliance à Bruxelles. Dimanche encore, la Biélorusse s'apprêtait à boycotter le sommet, en réaction au refus de visa tchèque pour le président biélorusse Alexander Loukachenko.
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18/11/2002
Le président ukrainien, Léonide Koutchma qui, bien qu'il ne soit pas invité par l'OTAN à venir au sommet, à cause des soupçons de fournir des radars à l'Irak, a officiellement demandé, ce lundi, les visas d'entrée tchèques. Sa participation ne pose pas de problèmes, a indiqué le chef du gouvernement, Vladimir Spidla.
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18/11/2002
A Bruxelles, le chef de la diplomatie tchèque, Cyril Svoboda, a confirmé l'introduction d'une protection spéciale du marché tchèque contre les importations de la viande de porc et de certains autres produits alimentaires, en accord avec les principes de l'Organisation mondiale du commerce.
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17/11/2002
Le principe de rectitude, de courtoisie et dignité humaine, ainsi qu'un effort constant dans le règlement des problèmes par un dialogue objectif, ce sont, selon le président Vaclav Havel, les principaux idéaux pour lesquels les gens ont combattu lors de l'époque totalitaire et que portent en elles les jeunes générations. Le président Havel a fait cette déclaration après avoir posé une gerbe de fleurs pour le souvenir, avenue Nationale, d'où les premières manifestations d'étudiants sont parties, le 17 novembre 1989.
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17/11/2002
Cérémonie de recueillement, ce dimanche, à la caserne du 17 novembre à Prague, où, en 1939, les forces nazies d'occupation ont passé par les armes 9 étudiants des écoles supérieures. "Les événements du 17 novembre 1939 sont la preuve que nous ne pouvons et ne pourrons être d'accord avec l'occupation de notre pays ni avec une idéologie nazie", a déclaré à la CTK, Jakub Cernin, président des Etudiants du 17 novembre 1939 et de l'Union des combattants pour la liberté. Cernin, témoin oculaire des événements en question.
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17/11/2002
L'Organisation Nord Atlantique dément avoir invité le président urkrainien Leonid Kutchma à participer au Sommet de l'OTAN à Prague. Une réaction à une information des autorités ukrainiennes selon laquelle le président Kutchma a reçu une invitation de l'OTAN. Les Etats-Unis reprochent à Kutchma d'avoir accepté la vente de radars à l'Irak, violant ainsi les sanctions de l'ONU. Les membres de l'OTAN considèrent sa présence indésirable.
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17/11/2002
Les préparatifs au Sommet de l'OTAN, auxquels pas moins de 25 000 personnes ont apporté leur contribution, sont terminés. Dès mercredi, les chefs d'Etat et de gouvernements sont attendus à Prague. Les organisateurs promettent que la capitale tchèque saura accueillir ses hôtes, malgré les dernières inondations. Un renfort de plus de 2000 policiers est sur place. L'armée apportera son aide le cas échéant.
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16/11/2002
Il ne reste plus que cinq jours avant que la Tchéquie ne devienne le point de m ire du monde entier. Le jeudi et vendredi, une cinquantaine de chefs d'Etat et de gouvernements des pays membres de l'OTAN et du Partenariat pour la paix, à q uoi s'ajoutent quelques milliers d'hôtes, se donneront rendez-vous à Prague, po ur le Sommet de l'Organisation du Traité de l'Atlantique Nord. Aussi la Tchéqui e prépare-t-elle les mesures de sécurité les plus importantes de son histoire.
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16/11/2002
Et de fait, en raison de l'approche du Sommet de l'OTAN à Prague, l'Autriche, q ui a une frontière commune avec la Tchéquie, renforce, elle aussi, la protectio n de son espace aérien. A partir de lundi, dix avions américains de type F-16 s urvoleront l'Autriche, en provenance d'Italie, avec, comme destination, la base aérienne de Caslav en Tchéquie. Les modalités de ce vol ont été arrêtées avec l'Autriche depuis le mois d'août dernier. Rappelons que d'un commun accord, la Tchéquie bénéficie, elle aussi, d'une protection aérienne américaine.
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16/11/2002
Le président de la Chambre basse du Parlement russe, Gennadij Seleznjov, a qual ifié de violation grossière des droits de l'homme, le fait que l'Union européen ne tend vers l'interdiction de son territoire au président biélorusse, Alexandr e Lukachenko et des dizaines de représentants de son régime. "Il est injuste, a -t-il dit, que l'Europe s'efforce de bloquer la Biélorussie. Personne n'a décré té contre elle des sanctions". Il est en effet question que les "Quinze" convie nnent, dès la semaine prochaine, de la l'interdiction de l'octroi du visa au pr ésident Lukachenko et certains membre de son entourage. La raison en est le déf icit démocratique du régime.
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