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Prévu pour cet été, le lancement de la ligne de train de nuit reliant Bruxelles à Prague en passant par Amsterdam, Berlin et Dresde, a été reportée. L’information a été communiquée par la société néerlandaise European Sleeper qui devrait exploiter le train de nuit en collaboration avec l’entreprise de transport tchèque RegioJet. Aucune nouvelle date n’a été pour l’heure annoncée.

Le train devrait partir en début de soirée de Prague et arriver dans la matinée à Bruxelles. Dans le sens inverse, les voyageurs embarqueraient en début de soirée à Bruxelles, pour arriver le matin suivant dans la capitale tchèque. Cette offre de voyage s’adresse aux touristes ainsi qu’aux employés des institutions européennes.

Un deuxième camp destiné aux réfugiés en provenance d’Ukraine sera construit, d’ici le 31 mai prochain, à Prague, dans le quartier de Malešice, a annoncé mardi le ministre de l’Intérieur Vít Rakušan. Les tentes seront installées sur un terrain appartenant à la Poste tchèque et pourront accueillir 150 personnes.

Un premier camp de réfugiés dans la capitale avait été construit, à la mi-mai, dans le quartier de Troja. Les deux dispositifs sont principalement destinés aux réfugiés roms qui attendent la régularisation de leur situation.

La Tchéquie s'est qualifiée, lundi, pour les quarts de finale du Mondial de hockey sur glace en Finlande, en venant à bout des Etats-Unis (1-0), sur un but de Matěj Blümel. Mardi, les Tchèques se sont inclinés 0-3 face à la Finlande, pour leur dernier match au sein du groupe B, où ils ont terminé à la 3e place.

En quarts de finale, l’équipe tchèque sera opposée à l’Allemagne, jeudi après-midi à Helsinki.

Mercredi, l’association CZ.NIC débloquera huit sites de désinformation dont elle avait rendu les domaines inaccessibles le 25 février en lien avec la guerre en Ukraine. Ces sites ne constituent plus une menace, notamment en raison d’une baisse attendue du trafic, a estimé le porte-parole de l’association, Vilém Sládek.

L’objectif principal de cette mesure au moment de l’agression russe contre l’Ukraine était de limiter la diffusion sur Internet de fausses informations cherchant à relativiser, justifier ou approuver l’agression.

Selon les règles de l’association, les raisons du blocage de ces sites n’étaient plus pertinentes et la société CZ.NIC avait demandé qu’une ordonnance d’un tribunal, de la police ou d’une autorité publique compétente le prolonge, chose qui n’a pas eu lieu. L’association a déclaré dès le début qu’il s’agissait d’une mesure extraordinaire et sans précédent, qu’elle réexaminerait chaque mois conformément aux règles d’enregistrement des sites.