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80 ans se sont écoulés depuis le parachutage de Jan Kubis et Jozef Gabcik, et d’autres membres de la résistance extérieure, en Tchécoslovaquie, dans la nuit du 28 au 29 décembre 1941. Six mois plus tard, ils réussissaient leur mission qui consistait en l’assassinat du Reichsprotektor Reinhardt Heydrich.

Plusieurs cérémonies en leur mémoire sont organisées en divers endroits du pays, dont à Pardubice.

Jeudi, le ministre des Affaires étrangères Jan Lipavský (Pirates) accueillera à Prague le chef de la diplomatie autrichienne, Alexander Schallenberg, qui a été brièvement chancelier de son pays d'octobre à début décembre. Il s'agira du premier invité étranger reçu par Jan Lipavský au palais Černín depuis son entrée en fonction.

Les deux ministres discuteront des relations entre les deux pays voisins, qui ont une longue histoire commune, de la coopération en Europe centrale et des préparatifs de la présidence tchèque de l'UE au second semestre 2022. Au menu des discussions également, les questions actuelles de l'UE, telles que les migrations et les Balkans occidentaux, ainsi que la situation actuelle en Ukraine, en Russie et en Biélorussie.

L'alerte au smog est maintenue dans une partie de la région de Moravie-Silésie où les particules fines dans l'air sont supérieures à la norme. Sont concernées, jusqu’à nouvel ordre, les régions d'Ostrava, de Karviná et de Frýdek-Místek. Cependant, les habitants de l'ensemble de la région de Moravie-Silésie doivent tenir compte de la dégradation de ces conditions atmosphériques.

Les médecins mettent en garde les personnes souffrant de problèmes cardiaques ou d'asthme, leur conseillant de rester à la maison le plus possible. Les enfants et les seniors font également partie des populations à risque. Les habitants de la région doivent s'abstenir de faire des efforts physiques accrus à l'extérieur.

Dans une interview accordée au Beijing Daily, l'ambassadeur tchèque en Chine, Vladimír Tomšík, a exprimé son soutien aux Jeux olympiques d'hiver de Pékin. Celui-ci a déclaré qu'il agissait à la demande du président Miloš Zeman, qui a exprimé son regret de ne pas pouvoir assister en personne aux JO pour des raisons de santé.

Le gouvernement tchèque, qui est chargé de définir la politique étrangère du pays, n'a pas encore décidé s'il se joindrait ou non à un boycott diplomatique des jeux pour protester contre le bilan de la Chine en matière de droits de l'homme.

Les accointances pro-chinoise et pro-russe du chef de l’Etat tchèque sont à l’origine de tensions récurrentes entre le Château de Prague et le gouvernement.