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Deux jours après sa brillante victoire contre la France, championne olympique en titre, l’équipe de République tchèque de volley-ball affronte la Slovénie, ce mercredi soir, en quarts de finale du championnat d’Europe, toujours devant son public à Ostrava. En cas de nouveau succès, la sélection entraînée par Jiří Novák, bien connu des amateurs de volley en France  puisqu’il a passé l’essentiel de sa carrière à Paris, atteindra les demi-finales d’un Euro pour la première fois depuis 2001.

La République tchèque et la Slovénie, vice-championne d’Europe en titre, se sont déjà affrontées lors de leur entrée en matière dans la compétition la semaine dernière, et la Reprezentace s’était imposée (3-1). Après la qualification, mardi, des favoris serbes et polonais pour le dernier carré du tournoi, le quatrième quart de finale oppose l’Italie à l’Allemagne. Il s’agit des deux derniers matchs de l’Euro disputés à Ostrava, les demi-finales et les finales étant programmées à Katowice (Pologne).

Les maires de Prague, Brno et Ostrava, les trois plus grandes villes tchèques, n’envisagent pas de réduire la vitesse de circulation des automobilistes à 30 km/h dans les rues, comme cela est désormais le cas à Paris. Invités de la Télévision tchèque, lundi soir, Zdeněk Hřib (Pirates), Markéta Vaňková (parti conservateur ODS) et Tomáš Macura (ANO) ont expliqué que les priorités chez eux étaient l’achèvement des périphériques et les investissements dans le renforcement des transports en commun.

A Prague notamment, les automobilistes passent en moyenne vingt-quatre heures par an dans les files et embouteillages. L’achèvemenent des périphériques intérieur et extérieur constituent donc une priorité, alors que la capitale tchèque possède déjà un système de transports en commun très performant.

Tandis qu’à Prague et à Brno la vitesse moyenne de circulation s’élève à 32 km/h, elle est de 40 km/h à Ostrava.

Le président de la République, Miloš Zeman, a été admis, ce mardi, à l’hôpital militaire de Prague pour un « séjour de longue durée ». Publiée sur le site de la Radio tchèque, l’information a été confirmée par la porte-parole de l’hôpital, qui n’a toutefois pas précisé la raison de cette admission.

Par le passé, le chef de l’Etat, qui fêtera prochainement ses 77 ans, a déjà été hospitalisé à plusieurs reprises, entre autres pour des séjours de remise en forme. Très handicapé par une neuropathie diabétique, Miloš Zeman ne se déplace désormais plus qu’en fauteuil roulant. Il souffre également d’une déficience auditive et d’hypotension.

Par ailleurs, son prédécesseur au Château de Prague Václav Klaus, 80 ans, se trouve dans le même hôpital depuis le week-end dernier en raison, inversement, d’un problème d’hypertension artérielle.

Les mesures découlant du plan d’action national pour l’adaptation aux changements climatiques coûteront quelque 139 milliards de couronnes (près de 5,5 milliards d’euros) d’ici 2025. Environ trois cinquièmes de cette somme devraient provenir de ressources nationales, tandis que le financement de l’UE s'élèvera, lui, à 52 milliards de couronnes (environ 2 milliards d’euros).

Ces chiffres sont basés sur le plan d’adaptation actualisé adopté par le gouvernement, lundi. Celui-ci a également approuvé la stratégie d’adaptation aux changements climatiques en République tchèque jusqu’en 2030. Plus de cent mesures d’adaptation les plus diverses figurent dans ce plan.