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"Je tiens à exprimer mes plus sincères condoléances aux familles des victimes des attaques barbares au Mali et au Burkina Faso. La République tchèque condamne fermement ces attaques et continuera de lutter contre le terrorisme avec les pays du G5 Sahel", a indiqué mardi le chef de la diplomatie tchèque, Jakub Kulhánek, sur Twitter.

Une cinquantaine de civils ont été tués dimanche dans le nord du Mali lors d’attaques imputées à des djihadistes contre trois localités voisines et proches de la frontière avec le Niger, selon un bilan provisoire des autorités. Au Burkina, au moins 12 soldats burkinabés ont été tués et 8 blessés, dimanche également, lors d’une attaque de djihadistes présumés dans le nord-ouest du pays, près de la frontière du Mali.

En raison de la situation politique dans le pays dirigé par A. Loukachenko, le match de foot entre la Tchéquie et la Biélorussie ne se déroulera pas à Minsk comme prévu mais sur terrain neutre à Kazan en Russie.

Dans le cadre des éliminatoires pour la Coupe du monde 2022 au Qatar, la Tchéquie doit affronter le 11 octobre la Biélorussie qui est avec elle dans le groupe E.

La Tchéquie est actuellement deuxième de ce groupe derrière la Belgique qu'elle affrontera le 5 septembre à Bruxelles.

L'Union sportive tchèque (ČUS) a appelé le Comité olympique tchèque à indemniser les athlètes qui n'ont pas pu participer aux Jeux de Tokyo en raison de leur contamination au Covid-19 et de leur mise en quarantaine.

Le chef de l'Union en a fait la demande dans une lettre adressée au président du comité au sujet de la propagation du coronavirus lors du vol se rendant au Japon. Il a également demandé des excuses formelles.

Les athlètes de l'équipe olympique tchèque Michal Schlegel (cyclisme), Ondřej Perušič et Markéta Nausch Sluková (beach-volley) et Pavel Širuček (tennis de table) et un entraîneur ont apparemment été contaminé dans l'avion par un médecin de la délégation non vacciné.

Le gouvernement a chargé le directeur actuel du service de renseignement et de contre-espionnage (BIS), Michal Koudelka, de la gestion du service même après l’expiration de son mandat, le 16 août prochain, et jusqu’à la nomination de son successeur par le nouveau gouvernement issu des élections législatives d’octobre. L’information a été communiquée par le Premier ministre Andrej Babiš.

Le poste de directeur du BIS a été au cœur d’un débat politique ces derniers jours. Andrej Babiš a échoué à faire réunir à ce sujet la commission parlementaire pour la sécurité.

Le président Miloš Zeman a refusé à plusieurs reprises d'élever M. Koudelka au rang de général par le passé et a critiqué le BIS, qui a été à l'origine des récentes révélations sur l'implication russe dans l'explosion de Vrbětice.