La police militaire tchèque en Irak
Le ministre de la Défense, Jaroslav Tvrdik, vient de revenir d'une visite d'inspection au Koweït et en Irak. Il devait inauguré le 7ème hôpital de campagne de l'Armée tchèque, mais cela a été reporté en raison de problèmes techniques et de transport. Selon le ministre, une vingtaine de policiers militaires, faisant partie du contingent de l'Armée tchèque, après le départ des 400 membres de l'unité de décontamination chimique, devrait assurer la sécurité de l'amabassade tchèque, à Bagdad.
Le ministre de la Défense, Jaroslav Tvrdik, vient de revenir d'une visite d'inspection au Koweït et en Irak. Il devait inauguré le 7ème hôpital de campagne de l'Armée tchèque, mais cela a été reporté en raison de problèmes techniques et de transport. Selon le ministre, une vingtaine de policiers militaires, faisant partie du contingent de l'Armée tchèque, après le départ des 400 membres de l'unité de décontamination chimique, devrait assurer la sécurité de l'amabassade tchèque, à Bagdad. Elle devrait être ouverte le 1er juin, mais d'ici à la constitution d'un gouvernement irakien normal, l'ambassade ne sera qu'un poste de liaison. A partir du 1er juin, il y aura 270 membres de l'Armée tchèque en Irak. Selon le ministre de la Défense, Jaroslav Tvrdik, ils devraient être basés dans le sud du pays, dans la ville de Bassora. La plus grande partie du contingent tchèque sera représenté par les 150 membres du corps médical de l'hôpital de campagne. Le ministère de la Défense n'exlut pas une participation tchèque dans les corps de sécurité qui devraient maintenir l'ordre en Irak, comme cela est le cas dans les Balkans.