Le chancelier du président tchèque nie toute pression sur l'ancien président du Sénat défunt
Le chancelier du président tchèque Vratislav Mynář a rejeté les accusations récentes selon lesquelles la chancellerie présidentielle ferait de la rétention d'informations en lien avec les pressions dont l'ancien président du Sénat défunt Jaroslav Kubera aurait fait l'objet. Vratislav Mynář a nié la possibilité que ce dernier ait été sous une pression telle qu'elle aurait aggravé son état de santé.
Dans un documentaire de la Télévision tchèque, la veuve de Jaroslav Kubera a déclaré que son mari s'était retrouvé sous une forte pression en lien avec ses positions sur Taïwan. Elle a précisé qu'il aurait également fait l'objet de menaces sous-entendues par des représentants officiels de la Chine, estimant que l'escalade de ces tensions aurait conduit à une attaque cardiaque qui s'est soldée par son décès.