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01/10/2020
Vendredi, jour de la fête des Olivie, le temps sera nuageux avec éclaircies sur l’ensemble du territoire tchèque. Les températures varieront entre 16° et 21°.
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01/10/2020
Tête de série n°2, la Tchèque Karolína Plíšková a été battue par la Lettone Jelena Ostapenko (4-6, 2-6) au deuxième tour des Internationaux de France, jeudi à Roland-Garros. La meilleure joueuse tchèque actuelle et demi-finaliste sur l'ocre parisien en 2017, a commis, en 69 minutes de jeu, pas moins de 25 fautes directes, contre seulement 9 coups gagnants.
En revanche, sa compatriote Petra Kvitová, tête de série n°7, s’est qualifiée pour le 3e tour en s’imposant face à l’Italienne Jasmine Paolini (6-3, 6-3). Kvitová a rejoint deux autres joueuses tchèques, Kateřina Siniaková et Barbora Krejčíková qui s’étaient déjà qualifiées pour le 3e tour.
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01/10/2020
La Chambre des députés a adopté, mercredi, un projet de loi relatif à l’indemnisation des victimes des violences survenues en août 1969, lors des manifestations organisées à l’occasion du 1er anniversaire de l’invasion des troupes du Pacte de Varsovie en ex-Tchécoslovaquie. Le projet, rejeté auparavant par le gouvernement, a été soutenu par tous les députés présents, à l’exception de deux membres du parti communiste KSCM qui se sont abstenus. Deux autres députés communistes ont voté en faveur du projet qui sera prochainement examiné par le Sénat.
Cinq personnes ont été tuées par balles le 21 août 1969 par la police à Prague et dans d’autres villes du pays. Leurs proches auraient droit à une indemnisation à hauteur de 200 000 couronnes (environ 7 350 euros). Trente autres personnes blessées lors des manifestations pourraient recevoir entre 40 000 et 90 000 couronnes (entre 1 500 et 3 300 euros). Au total, l’Etat pourrait débloquer à cet effet jusqu’à 4,5 millions de couronnes (165 000 euros), étant donné que le nombre réel de victimes pourrait être supérieur à celui mentionné dans les statistiques.
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01/10/2020
Le nombre de nouveaux cas de Covid-19 dépistés en République tchèque en l’espace de 24h a de nouveau approché la barre des 3000. Plus précisément 2 932 tests se sont avérés positifs mercredi, ce qui porte à plus de 70 000 le nombre de contaminations détectés dans le pays depuis le 1er mars.
Le nombre de cas actifs s’élève à plus de 36 000 et plus de 900 personnes sont actuellement hospitalisées. Selon les données publiées ce jeudi par le ministère de la Santé, 232 personnes sont décédées des suites de la maladie en septembre, soit le nombre de décès mensuel le plus élevé enregistré depuis le mois d’avril, où 206 patients ont succombé au Covid-19 en Tchéquie. Le nombre total de décès s’élève à 658, tandis que plus de 33 000 patients ont été déclarés guéris.
Mercredi, le gouvernement tchèque a adopté le rétablissement de l’état d’urgence à compter de lundi prochain. Plus de détails dans notre programme du jour.
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01/10/2020
La diplomate Edita Hrdá a pris, ce jeudi, ses fonctions d’ambassadrice de la République tchèque auprès de l’UE. Elle sera notamment chargée de préparer la présidence tchèque du Conseil de l’UE, prévue pour le second semestre de 2022, écrit le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué. Le budget très restreint de la présidence tchèque, prévu à 1,24 milliards de couronnes (environ 46 millions d’euros) a été à l’origine du départ du prédécesseur d’Edita Hrdá, Jakub Dürr, qui avait été ambassadeur tchèque à l’UE depuis 2018.
Agée de 56 ans, Edita Hrdá a occupé, depuis 2015, le poste de directeur exécutif pour l'Amérique au Service européen pour l'action extérieure. Avant cela, elle avait représenté la République tchèque aux Nations unies.
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01/10/2020
Le Premier ministre tchèque Andrej Babiš ne s’envisage pas de s’entretenir avec son homologue hongrois Viktor Orbán des propos de l’eurocommissaire tchèque Věra Jourová qui a qualifié la Hongrie de « démocratie malade » dans un entretien accordé le 26 septembre dernier à l’hebdomadaire allemand Der Spiegel. Le chef du gouvernement tchèque l’a déclaré avant son départ à Bruxelles, où débute ce jeudi le sommet de l’UE consacré aux grands dossiers internationaux.
Ce mardi, Viktor Orbán a réclamé dans un courrier adressé à la présidente de la Commission européenne, la démission de Věra Jourová, commissaire en charge du portefeuille des Valeurs et de la Transparence. « Il faut que la Commission européenne communique non seulement avec l’opposition, mais également avec le gouvernement et le Parlement », a réagi le Premier ministre Andrej Babiš.
La Commission européenne a réitéré sa « pleine confiance » à sa vice-Présidente Věra Jourová, soutenue également par le chef de la diplomatie tchèque Tomáš Petříček.
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30/09/2020
La Commission a dévoilé ce mercredi un premier rapport sur le respect de l’Etat de droit dans les 27 pays de l’UE, qui épingle particulièrement la Hongrie, la Pologne et la Bulgarie, dans un contexte de tensions avec Budapest. Ce premier rapport a été présenté par la vice-présidente de la Commission Věra Jourová, chargée du portefeuille « Valeurs et de la transparence », et le commissaire à la Justice Didier Reynders. Il intervient au lendemain d'une attaque du Premier ministre hongrois Viktor Orban qui a demandé la démission de Věra Jourová. Il lui reproche des propos publiés la semaine dernière par le Spiegel relatifs à « une démocratie malade » en train d'être développée en Hongrie et à la « situation alarmante » des médias à Budapest.
Concernant la République tchèque, le rapport relève des insuffisances dans la lutte contre la corruption dans le pays. Si la Tchéquie a un cadre législatif qu'elle essaye d'améliorer, il existe, selon Bruxelles, des craintes que « de grandes affaires de corruption ne fassent pas systématiquement l'objet de poursuites judiciaires. »
Le rapport pointe également du doigt les audits en cours concernant les potentiels conflits d'intérêts de hauts responsables politiques en lien avec le détournement de fonds européens. L'an dernier, un audit de la CE avait constaté que le Premier ministre Andrej Babiš était en situation de conflit d'intérêts en dépit du placement de son ancien groupe Agrofert dans des fonds fiduciaires.
Le rapport constate enfin que la liberté d'expression est garantie en Tchéquie, mais que le contenu produit par les médias locaux n'ai pas exempt de risques d'interférence de leurs propriétaires.
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30/09/2020
Le gouvernement tchèque a approuvé, ce mercredi, le rétablissement de l'état d'urgence à partir du lundi 5 octobre et pour une durée d'un mois. L’adoption de cet état spécial, demandé par le ministre de la Santé Roman Prymula, permettra aux différents ministères de prendre des mesures restreignant les libertés individuelles, dans le but, selon les autorités tchèques, sinon d'endiguer, à tout le moins de stabiliser la situation épidémiologique dans le pays.
Actuellement, la Tchéquie est le deuxième pays de l'UE, après l'Espagne, où le nombre de contaminations par rapport à la population augmente le plus rapidement.
En lien avec le rétablissement de l'état d'urgence, de nouvelles mesures de restriction souhaitées par Roman Prymula entreront en vigueur lundi, après le premier tour des élections régionales et sénatoriales partielles.
Tous les événements en intérieur seront limités à 10 personnes, ceux en extérieur à 20 personnes, même si de nombreuses exceptions doivent être concédées. Si les grands concerts seront annulés, ce ne devrait pas être le cas des spectacles de type théâtre, ballets et autres. Parmi les nouvelles mesures à entrer en vigueur lundi également : la limitation à six personnes par table dans les restaurants.
Le sport professionnel se verra limité à 130 personnes en tout, et tous les événements sportifs se dérouleront sans spectateurs.
Les écoles du secondaire situées dans les zones à risque épidémiologique accru fermeront leurs portes pendant deux semaines à compter de lundi prochain.
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30/09/2020
Jeudi, jour de fête des Igor en République tchèque, météo toujours instable au programme, avec des éclaircies à l'ouest et des précipitations à l'est. Les températures seront en légère hausse : 17 °C pour les moyennes maximales.
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30/09/2020
Plusieurs hauts responsables tchèques, dont le Premier ministre tchèque Andrej Babis (ANO), le ministre de l'Intérieur, Jan Hamáček (ČSSD), le ministre des Affaires étrangères Tomáš Petříček, et d'autres, ont condamné, dans une déclaration commune, les violences exercées par Minsk contre les manifestants biélorusses, qui protestent depuis le mois d'août contre les résultats de l'élection présidentielle qui a vu la réélection d'Alexandre Loukachenko. La déclaration commune exprime également leur soutien à des élections libres dans le pays.
A l'occasion d'une réunion au Château de Lány, organisée par le président Zeman, les hauts responsables tchèques ont également soutenu la tenue d'un dialogue constructif avec la Russie, suite à la détérioration des relations bilatérales ces derniers mois.
A noter que le président du Sénat Milos Vystrčil, qui a suscité la colère du chef de l'Etat tchèque enr raison de son déplacement récent à Taïwan, n'a pas été convié à la réunion.
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