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La Tchéquie figure parmi dix-sept pays européens qui demandent à la Commission européenne de modifier le système d’expulsion de demandeurs d’asile déboutés, a informé le site Euronews. Cette nouvelle approche en matière de retour devrait garantir que les demandeurs d’asile dont la demande a été rejetée soient effectivement et rapidement renvoyés dans leur pays d’origine. Elle devrait également entraîner des « conséquences » pour les personnes qui reçoivent un ordre de retour, mais ne quittent jamais le continent européen.

« Les personnes qui n'ont pas le droit de rester doivent être tenues pour responsables. Une nouvelle base juridique doit clairement définir leurs obligations et leurs devoirs », écrivent les pays signataires dans un document officieux.

Une proposition de réforme de la directive « retour » de 2008 est bloquée au Parlement européen depuis 2019, constate Euronews. Pour le groupe des 17 pays, un tout nouveau texte est désormais nécessaire.

Le document a été préparé par l’Autriche et les Pays-Bas et approuvé par la Tchéquie, la France, la Croatie, le Danemark, la Finlande, l’Allemagne, la Grèce, l’Italie, la Liechtenstein, le Luxembourg, Malte, la Slovaquie et la Suède. La Norvège et la Suisse, deux États non membres de l’UE faisant partie de l’espace Schengen, ont également apposé leur signature.

Le taux de chômage en Tchéquie a augmenté de 0,1 point en septembre, comparé aux deux mois précédents, pour s’élever à 3,9 %, selon les chiffres publiés, mardi, par le Bureau du travail (équivalent de Pôle emploi). Cette augmentation s’explique essentiellement par l’arrivée sur le marché du travail de quelque 3 000 jeunes diplômés. Près de 290 900 personnes étaient sans emploi fin septembre, soit 4 585 de plus que le mois précédent.

Toutefois, le nombre postes vacants a également augmenté, de 1 400 par rapport au mois d’août, pour atteindre 264 654.

Il y a un an, en septembre 2023, le taux de chômage s’élevait à 3,6 %.

Dix exposants français seront accueillis au Pavillon France du Salon international de la construction mécanique (MSV) qui ouvrira ses portes au Parc des expositions à Brno ce mardi, et dont la 65e édition se tiendra du 8 au 11 octobre.

Exposant traditionnel depuis vingt-et-un ans d’un événement qui constitue la plus grande foire industrielle existante en Europe centrale, la Chambre de commerce franco-tchèque présentera à cette occasion les dernières innovations françaises aux professionnels et au grand public. L’industrie 4.0 et l’usine numérique, soit la numérisation de la production, ou encore l’économie circulaire, sont les principaux thèmes retenus pour cette année par les organisateurs.

Le Pavillon France se trouve juste à côté du Stand tchèque pour ce salon qui attire chaque année plusieurs dizaines de milliers de visiteurs du monde entier. Parmi les exposants français traditionnels figurent, par exemple, la société Chambrelan, qui conçoit et fabrique des glissières télescopiques et des rails de guidage, ou Numalliance, spécialisée dans la production de machines-outils sur mesure.

Pour plus de détails sur cette présence française à Brno, cf. ici.