L'ancien ministre de la Santé à propos du "tueur à l'héparine"

L'ancien ministre de la Santé, David Rath, est persuadé que les meurtres à l'héparine à l'hôpital de Havlickuv Brod pouvaient être évités. Il affirme que les effets de l'héparine, découverts à temps, auraient pu être soignés à l'aide d'un autre médicament et que les patients ne seraient pas décédés d'hémoragies. L'infirmier en soins intensifs, Petr Zelenka, a avoué, jusqu'à maintenant, huit meurtres et neuf tentatives de meurtres à l'héparine.