Le chef de la diplomatie tchèque se joint aux protestations contre les représailles contre le groupe russe Pussy Riot
C’est le ministre tchèque des Affaires étrangères Karel Schwarzenberg qui a été le premier à apposer sa signature sur un mur blanc dressé sur la place Venceslas au centre de Prague en signe de protestations contre les représailles contre le groupe de rock russe Pussy Riot. Le mur a été dressé par l’association tchèque Opona. Il restera sur la place Venceslas jusqu’à samedi. Le chef de la diplomatie tchèque y a écrit à l’adresse des membres du groupe punck-rock russe qui se trouvent en prison : « Je vous admire beaucoup. Soyez fermes. La Russie regagnera sa dignité et sa liberté. Nous pensons tous à vous. »