Face à l’inflation, un cinquième des restaurants tchèques envisagent de cesser leur activité
Jusqu’à un cinquième des restaurants en République tchèque envisagent de fermer leurs portes en raison de la crise économique conjuguée à la forte inflation. C’est ce qui ressort d’une enquête menée en octobre par la société de titres-restaurant Edenred, à laquelle ont participé plus de 220 établissements. Selon cette même enquête, un peu plus de la moitié sont déterminés à poursuivre leur activité, tandis que près d’un tiers envisageraient eux aussi de fermer boutique en cas de complications supplémentaires.
En raison notamment de la forte inflation, de la baisse du pouvoir d’achat, mais aussi d’habitudes qui ont évolué depuis la crise du coronavirus, de nombreux restaurants et brasseries ont enregistré une forte baisse de leur clientèle en l’espace d’un an. Certains, en particulier dans les régions économiquement les plus désavantagées du pays, s’efforcent de s’adapter à la situation en proposant des plats plus simples et donc financièrement plus accessibles.