Présidentielles : toujours le point d'interrogation
Les négociateurs qui cherchent sur le terrain parlementaire des soutiens aux différents candidats des partis aux présidentielles, reconnaissent que les discussions actuelles n'apporteraient pas de résultats palpables et que des négociations plus intensives ne commenceraient qu'après le premier tour d'élection, attendu dans 12 jours. Il n'y a donc toujours pas de prépondérance décisive d'un candidat sur les autres.