D'après les derniers sondages nationaux, la moitié des citoyens tchèques seraient pour que le président de la République, Vaclav Klaus, nomme un Premier ministre de transition et sans-parti, un technocrate.

Il s'avère que l'opinion publique serait pour la solution choisie par l'ancien président Vaclav Havel, en 1998, avec un sans-parti, Josef Tosovsky, gouverneur de la Banque centrale, chargé de conduire le gouvernement jusqu'aux élections anticipées.