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Les Tchèques n’auront pas réitéré leur succès d’il y a 17 ans face au Danemark en quarts de finale de l’Euro 2004. A Bakou, la Reprezentace s’est inclinée face aux Danois, qualifiés pour les demi-finales, après avoir encaissé deux buts à un.

Menés un but à rien dès la cinquième minute de jeu, puis encaissant un second but à quelques minutes de la fin de la première mi-temps, les Tchèques ont pu remotiver les troupes après le but de Patrik Schick au début de la deuxième mi-temps. Cela n’aura pas suffi aux hommes de Jaroslav Šilhavý qui peuvent quand même se targuer d'un joli parcours pour cet Euro 2020.

Le taux d’hébergement et le nombre de réservations dans les hôtels pragois reste faible, selon l’agence de presse tchèque CTK qui note que les clients ont tendance à réserver à la dernière minute, parfois même après leur arrivée. Les hôteliers s’attendent à un nombre de clients similaire à celui de l’été dernier.

L’inquiétude règne chez certains hôteliers qui craignent que le tourisme ne relève pas en dépit des pass sanitaires et en raison de l’apparition de nouveaux variants qui entraînent de nouvelles restrictions.

Les sénateurs ont approuvé l’amendement proposé par la commissaire gouvernementale pour des droits de l’Homme, Helena Válková, et le député du Parti pirate, Ondřej Profant, de permettre aux femmes de supprimer le suffixe -ová de leur nom de famille.

Actuellement, la législation tchèque autorise les femmes à abandonner le suffixe -ová seulement si elles ont une nationalité étrangère, si elles vivent avec un étranger ou si elles ont une résidence temporaire dans un pays étranger. Désormais, les parents pourraient également décider de conserver la forme masculine (donc sans le suffixe –ová) du nom de famille de leur fille.

L’amendement à la loi sur les registres des naissances, des prénoms et des noms doit encore être signé par le président.

Les centres de dépistage du Covid-19 notent une hausse de la demande de tests, certains étant obligés d’augmenter la capacité d’accueil. Cette hausse est en grande partie due aux départs en vacances et au début de la saison des centres aérés et camps pour les enfants, où les tests sont obligatoires.

Selon les données du ministère de la Santé, entre 30 000 et 40 000 tests PCR ont été effectués dans le pays sur les quatre derniers jours, tandis que début juin, ce nombre tournait autour de 26 000.