La République tchèque dit « non » à une éventuelle surveillance européenne du poste-frontière de Rafah
La diplomatie tchèque s'oppose à une éventuelle implication de l'UE à la surveillance du poste-frontière de Rafah, qui sépare le sud de la bande de Gaza de l'Egypte. Cette mesure pourrait éviter le trafic d'armes entre groupes égyptiennes et fractions palestiniennes. La question a été discutée lundi, à Bruxelles, par les ministres des Affaires étrangères des Vingt-Cinq. « Surveiller cette frontière et même y envoyer des soldats et des policiers n'est pas une mission de l'UE, c'est inacceptable », a déclaré le chef de la diplomatie tchèque Cyril Svoboda.