Le gouvernement tchèque survit à une motion de censure
Le gouvernement du premier ministre Mirek Topolanek ne démissionnera pas. Lors du vote de la motion de censure dans la Chambre des députés, seulement 97 de 198 députés ont voté contre lui. C’est déjà la deuxième tentative de renverser le gouvernement organisée par le Parti social-démocrate tchèque et le Parti communiste de Bohème et de Moravie qui échoue. La première tentative a eu lieu déjà en juin dernier. L’opposition reproche au cabinet Topolanek de manquer de compétences pour gouverner le pays et de perdre progressivement la confiance de la population. Par contre les membres du cabinet qualifiée leurs activité de réussies.