Le président tchèque, Vaclav Klaus, à l'ONU à propos des changements climatiques

Les chefs d'Etat de plus de 70 pays du monde sont réunis à New York pour une conférence de plusieurs jours sur les mesures à prendre contre les changements climatiques. Vaclav Klaus, dans son allocution, a déclaré que la hausse des températures dans le monde, au cours des dernières années, dernières décenies et derniers siècles, a été, comparée à toute l'histoire, très faible et ses conséquences sur l'être humain et ses activités négligeables. La menace liée à un futur réchauffement mondial hypothétique n'est pas prouvée d'une manière scientifique, selon le président tchèque, et est basée sur des prévisions spéculatoires. En réaction au discours de Vaclav Klaus, le ministre tchèque de l'Environnement, Martin Bursik, a déclaré que ce dernier avait diminué l'autorité internationale de la République tchèque. D'autres personnalités se sont jointes à cette critique.