Politiciens et anciens prisonniers politiques discutent de l'interdiction du Parti communiste

Des représentants de plusieurs formations politiques et près de 500 anciens prisonniers politiques se sont réunis sur l'île de Zofin dans la capitale. La Confédération nationale des prisonniers politiques estime que l'existence même du KSCM est contraire à la loi tchèque. Rappelons que ce parti, héritier direct du parti communiste tchécoslovaque, a récolté près de 13% des suffrages aux dernières élections.