Antonin Dvorak vu par un musicien français
Prague est, ces jours-ci, une ville abandonnée par une grande partie de ses habitants, phénomène dû aux manifestations antimondialisation attendues. Les écoliers et les étudiants du cycle secondaire sont en vacances supplémentaires... Prague demeure pourtant un haut-lieu de la culture, avec plus d'une manifestation intéressante. Je mentionnerai en particulier le festival de musique l'Automne de Prague en cours. Son programme n'a rien à envier au Printemps de Prague, son confrère plus prestigieux, jouissant d'une plus longue tradition. Ce week-end a pris fin un autre festival, consacré à Antonin Dvorak. Dans son cadre, le public pragois a pu entendre le baryton français Jean-François Gardeil, accompagné au piano de Billy Eidi. Ce dernier m'a confié son amour pour ce grand compositeur tchèque et, d'ailleurs, pas seulement pour lui.