Stanislav Gross, Vladimir Spidla et Cyril Svoboda, photo: CTK
C'est tard dans la soirée de mercredi que les négociations des représentants de la social-démocratie, vainqueur des législatives de juin, d'un côté, et de ceux des chrétiens-démocrates et des unionistes de l'autre, ont abouti. Les politiciens concernés ont trouvé un consensus sur le programme du prochain cabinet ainsi que sur la répartition des portefeuilles ministériels.
Stanislav Gross, Vladimir Spidla et Cyril Svoboda, photo: CTK
C'est tard dans la soirée de mercredi que les négociations des représentants de la social-démocratie, vainqueur des législatives de juin, d'un côté, et de ceux des chrétiens-démocrates et des unionistes de l'autre, ont abouti. Les politiciens concernés ont trouvé un consensus sur le programme du prochain cabinet ainsi que sur la répartition des portefeuilles ministériels. Ainsi la social-démocratie en aurait onze, tandis que les deux autres partis, réunis au sein de la dite Coalition, six. Sur tous les points de litige, un consensus a été trouvé, tant bien que mal. « Dorénavant, nous allons discuter de la structure du prochain gouvernement », a déclaré Vladimir Spidla, Premier ministre tchèque pressenti. Une façon de dire que les personnes concrètes qui occuperont tel ou tel ministère n'ont pas encore été définitivement désignées...
Hana Marvanova, Stanislav Gross et Vladimir Spidla, photo: CTK
Les négociations des responsables des trois partis ont porté également sur la composition de la direction de la prochaine Chambre des députés. Un social-démocrate, le plus probablement une femme, serait à sa tête. Les postes de ses six vice-présidents incomberaient à des membres de tous les partis représentés au Parlement... Une petite ombre sur les résultats des négociations quand même : Hana Marvanova, présidente de l'Union de la liberté, l'un des deux partis de la Coalition, a présenté sa démission, puisque désapprouvant certains de leurs points.
