Des reproches à Kavan

Selon son remplaçant à la tête des Affaires étrangères, Jan Kavan, ministre sortant et actuellement président de l'Assemblée générale des Nations unies, devait ressentir, en qualité de député, plus de responsabilité à l'égard des événements dans son pays et du destin de la coalition. La coalition va s'efforcer à l'avenir d'avoir encore la voix de Marvanova, a dit Cyril Svoboda. Cette voix fut à l'origine, rappelons-le, du rejet de la réforme fiscale présentée par le gouvernement et rendue nécessaire par les charges consécutives aux inondations. Précisons à ce sujet qu'avec la voix de Kavan, le gouvernement aurait pu éviter ce rejet et par la suite l'actuelle crise gouvernementale.

Auteur: Omar Mounir