La chanson du siècle – récapitulatif de la semaine

Nous commémorons cette année le 100e anniversaire de la fondation de la République tchécoslovaque indépendante. A cette occasion, Radio Prague vous propose un concours pour élire la plus belle chanson du siècle.

Chanson du siècle
Chaque jour, du lundi au vendredi, nous vous présentons sur notre site Internet et dans nos émissions une des 100 chansons qui se sont inscrites dans l’histoire de la Tchécoslovaquie et de la République tchèque.

Et chaque dimanche, nous vous invitons à voter pour une des cinq chansons présentées durant la semaine écoulée. La chanson qui, pour la décennie donnée, recueillera le plus grand nombre de voix, sera « qualifiée » pour l’étape suivante du concours.

Lorsque les 100 chansons auront été diffusées, à raison donc d’une chanson par année depuis 1918 jusqu’en 2018, deux nouveaux votes seront organisés respectivement pour les périodes 1918 – 1968 et 1968 – 2018. Ces deux votes permettront de retenir six chansons pour le tour ou le vote final, duquel ressortira la chanson préférée de la majorité des auditeurs de Radio Prague – autrement dit « la chanson tchèque du siècle ».

Dix votants tirés au sort recevront un CD produit à l’occasion des célébrations du centenaire de la fondation de la République tchécoslovaque. Il s’agit de l’enregistrement des chansons qui ont rencontré le plus grand succès dans de nouveaux arrangements.

Le récapitulatif de la semaine que nous vous proposons aujourd’hui commence en 1923 et il se termine en 1927. Laquelle des chansons que nous allons écouter vous plaira le plus, chers auditeurs ? Nous attendons avec curiosité vos réponses et les résultats du vote sur notre site.

1927 : Stará, natoč gramofon – Bobonne, allume le tourne-disque

1926 : Hezká vzpomínka – Un beau souvenir

1925 : Když zjara první vonný květ – Quand au printemps la première fleur parfumée

1924 : Když mě má panenka nechce ráda mít – Si ma poupée ne veut pas m’aimer

1923 : Pane kapelníku, hrajte mi tu mou! – Monsieur le chef de musique, jouez-moi la mienne !