La clôture du chapitre de l'énergie
Lors des négociations d'adhésion, mercredi à Bruxelles, la République tchèque a clos le chapitre de l'énergie, bloqué, depuis plusieurs mois, par la position négative de l'Autriche à l'égard de la centrale nucléaire de Temelin. Le chef de la diplomatie tchèque, Jan Kavan, s'est félicité de la position autrichienne qui a permis la clôture de ce chapitre.
Lors des négociations d'adhésion, mercredi à Bruxelles, la République tchèque a clos le chapitre de l'énergie, bloqué, depuis plusieurs mois, par la position négative de l'Autriche à l'égard de la centrale nucléaire de Temelin. Le chef de la diplomatie tchèque, Jan Kavan, s'est félicité de la position autrichienne qui a permis la clôture de ce chapitre. Il a souligné aussi que, dans son discours, son homologue autrichien, Mme Benita Ferrero-Waldner, n'avait plus insisté sur la revendication autrichienne de se réserver le droit de réouverture de ce chapitre.
Dans le domaine énergétique, Prague a réussi à obtenir deux périodes transitoires: la première période, d'ici à l'an 2005, concerne les réserves obligatoires du pétrole pour quatre-vingt-dix jours, et la seconde période, d'ici à l'an 2004, englobe le processus de libération du marché de gaz.
Un autre chapitre clos ce mercredi concerne l'Intérieur et la Justice.