Le cinéma et l'art lyrique au programme d'Une Saison tchèque à Paris

Les Solitaires

La projection, ce mercredi soir au Cinéma des Cinéastes à Paris, du film Les Solitaires du jeune réalisateur tchèque, Dusan Ondricek, a ouvert une rétrospective consacrée aux cinémas tchèque et français. Deux cinématographies qui ont un trait commun : dans les années soixante, elles représentaient ce que l'on aura appelé la Nouvelle vague.

Les Solitaires
La projection, ce mercredi soir au Cinéma des Cinéastes à Paris, du film Les Solitaires du jeune réalisateur tchèque, Dusan Ondricek, a ouvert une rétrospective consacrée aux cinémas tchèque et français. Deux cinématographies qui ont un trait commun : dans les années soixante, elles représentaient ce que l'on aura appelé la Nouvelle vague. 22 films tchèques et français sont au programme de ce festival qui, une fois terminé à Paris, s'étendra sur plusieurs villes françaises : Toulouse, Grenoble, Perpignan, Limoges, Chambéry et Brest. Le cinéma tchèque est représenté tant par plusieurs films de la nouvelle génération de cinéastes que par des oeuvres « classiques ». Je ne citerai que « Au feu les pompiers » de Milos Forman ou « L'éclairage intime » d'Ivan Passer.

C'est aussi l'art lyrique tchèque qui est présent, ces jours-ci, à Paris, avec la Petites Renarde rusée, célèbre opéra de Leos Janacek, donné au théâtre des Champs-Elysées. Il s'agit d'une mise en scène qui avait déjà été présentée, il y a deux ans, à Lyon. Le rôle principal est campé par la soprano Rosemary Joshua. Dans l'un des rôles masculins brille le ténor slovaque, Stefan Margita.

Ecoutons un petit extrait de la Petite Renarde rusée de Janacek.