Sénatoriales - un tri des candidats à la présidence de la République ?
En janvier prochain, les députés et sénateurs tchèques vont élire le successeur du président Havel. Sur ce point, les élections ont bien mélangé les cartes... a-t-on constaté, lundi, en vous apportant les résultats des élections sénatoriales. Et alors, quoi de neuf, côté présidentielles ? Les noms des grands favoris ne changent pas : Otakar Motejl, médiateur, Petr Pithart, président sortant du Sénat, Vaclav Klaus, ancien chef du Parti civique démocrate et Milos Zeman, ex-Premier ministre social-démocrate.
En janvier prochain, les députés et sénateurs tchèques vont élire le successeur du président Havel. Sur ce point, les élections ont bien mélangé les cartes... a-t-on constaté, lundi, en vous apportant les résultats des élections sénatoriales. Et alors, quoi de neuf, côté présidentielles ? Les noms des grands favoris ne changent pas : Otakar Motejl, médiateur, Petr Pithart, président sortant du Sénat, Vaclav Klaus, ancien chef du Parti civique démocrate et Milos Zeman, ex-Premier ministre social-démocrate. On attend toujours la nomination du candidat officiel de la social-démocratie qui vient d'organiser un "référendum" pour choisir parmi plusieurs personnalités. Il paraît, cependant, que le seul Otakar Motejl, 70 ans, sans parti, ancien ministre de la Justice du cabinet Zeman, serait acceptable pour la majorité des sénateurs. Tant pour les sénateurs de la coalition gouvernementale que pour les indépendants. Vaclav Klaus et Milos Zeman, par contre, peuvent compter uniquement sur le soutien des membres de leurs partis, l'ODS et la social-démocratie. Il reste encore Petr Pithart, le candidat des chrétiens-démocrates, affaiblis au Sénat après les élections. Seulement un concours de circonstances pourrait, semble-t-il, l'élever au poste de chef de l'Etat.