On a l'impression que la visite de Vaclav Havel, ce mercredi, à Bratislava en Slovaquie, dans son dernier voyage à l'étranger, en tant que chef d'Etat, relevait du symbole. Oui ! Mais pas seulement. C'était, d'abord, pour le président Vaclav Havel, dirait-on, l'occasion de s'expliquer, lors d'une conférence de presse, une autre fois encore, et certainement pas la dernière, sur la partition de la Tchécoslovaquie.
On a l'impression que la visite de Vaclav Havel, ce mercredi, à Bratislava en Slovaquie, dans son dernier voyage à l'étranger, en tant que chef d'Etat, relevait du symbole. Oui ! Mais pas seulement. C'était, d'abord, pour le président Vaclav Havel, dirait-on, l'occasion de s'expliquer, lors d'une conférence de presse, une autre fois encore, et certainement pas la dernière, sur la partition de la Tchécoslovaquie. Mais le plus intéressant est que cette visite a déclenché en Slovaquie, autant parmi les gens que dans la presse, une avalanche de mises au point des relations, si compliquées et si complexes, entre les deux pays, mais aussi un examen des responsabilités des uns et des autres au sein de cette partition dont, décidément, ces deux pays ne se remettront jamais. C'est dans ce cadre qu'intervient la première partie de l'entretien suivant avec le professeur Peter Kopecky, ancien ambassadeur de Slovaquie en Roumaine et membre du corps professoral de la Faculté des sciences économiques et sociales de l'Université Komensky. Avec un point de vue objectif, précis, critique, mais aussi cette bienveillance coutumière aux intellectuels, le professeur Kopecky fait un survol du passé et donne certaines ouvertures sur l'avenir. Ecoutons cet entretien avec nos remerciements à notre collègue de Radio Bratislava, Zuzana Borovska, qui nous a permis de découvrir le au professeur et de lui rendre visite.
C'était donc le professeur Peter Kopecky, ancien ambassadeur de Slovaquie en Roumaine et membre du corps professoral de la Faculté des sciences économiques et sociales de l'Université Komensky, dans un premier entretien sur les relations tchécoslovaques, à la lumière de la partition de la Tchécoslovaquie. La suite de l'entretien dans une semaine. Même heure, même adresse.