A quatre mois des législatives, la scène politique tchèque change. La coalition des quatre, regroupant quatre partis de droite, est reléguée au passé. Vendredi, elle a disparu définitivement.
Logo de l'ancienne coalition des quatre
A quatre mois des législatives, la scène politique tchèque change. La coalition des quatre, regroupant quatre partis de droite, est reléguée au passé. Vendredi, elle a disparu définitivement. Des problèmes financiers de l'un de ses membres, l'ODA, seraient la cause de sa désintégration. L'électeur tchèque a ainsi perdu une alternative à deux plus grands partis politiques - la social-démocratie et le Parti civique démocrate. Que deviendront les membres restants de l'ancienne coalition, le parti démocrate-chrétien et l'Union de la liberté? Il paraît qu'un mariage de raison n'est pas exclu. Les unionistes ne cachent pas que le principal argument d'une continuation de la coopération est, qu'à deux, la campagne électorale serait moins chère. Le deuxième argument pour est que les intentions de vote pour l'Union de la liberté varient autour de la limite critique de 5%, nécessaire pour obtenir un crédit pour financer la campagne électorale. La décision sur la création d'une coalition des deux devrait tomber mardi.
