Petr Zelenka, le réalisateur du film L'Année du diable, photo: CTK
Il y a quelques jours, l'Académie tchèque du cinéma et de la télévision a décerné ses prix, les Lions tchèques, aux meilleurs films de l'année 2002. Victoire absolue : le film musical et non-conformiste, L'Année du diable, avec, au total, 8 statuettes de lion en cristal.
Petr Zelenka, le réalisateur du film L'Année du diable, photo: CTK
Il y a quelques jours, l'Académie tchèque du cinéma et de la télévision a décerné ses prix, les Lions tchèques, aux meilleurs films de l'année 2002. Victoire absolue : le film musical et non-conformiste, L'Année du diable, avec, au total, 8 statuettes de lion en cristal. Et les autres films tchèques qui ont captivé, ces derniers mois, les critiques et le public ? Le Voyage, sensible comédie sur la fragilité des relations familiales, Les Petits Salopards, histoire forte qui traite des problèmes d'adoption, du racisme et de l'intolérance, ou encore Je dois te séduire, où il est question de crise de couple et d'infidélité, tout cela sur un fond politique... Les films que je viens de vous présenter en deux mots ont un point commun : ils sont l'oeuvre de jeunes cinéastes qui vont, sans doute, encore nous préparer à l'avenir plein d'agréables surprises... Côté théâtre, un événement est à signaler : la première, au Théâtre national de Prague, de 4,48 psychose, le fameux drame de l'auteur britannique, Sarah Kane. Nous en reparlerons, dans un des prochains Magazines culturels... Et puis, la galerie du Rodolphinum, à Prague, vient de lancer un cycle d'expositions de photographie contemporaine : actuellement, on peut y voir les oeuvres de photographes britanniques, en juin, leurs collègues chinois prendront la relève... La fin de l'année sera réservée à la photographie tchèque.
